Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Oriannka

23 mai 2013

Où sortir à Paris (2)

Gulio Cesare - Hendel
Opéra Garnier
Du 23 mai au 18 juin

 

Mardi soir, j'ai eu l'immense honneur, joie, plaisir, jouissance (vous autre compris, j'étais contente) d'assiter à la dernière répétition générale de l'opéra Gulio Cesare de Hendel à l'Opéra Garnier.
Grande fan d'opéra depuis de longues années, mais ayant des proches qui n'en sont pas mordus, bien au contraire, je n'ai vu que peu de spectacle, à mon grand désespoir.
Lorsque Monsieur est arrivé, tel un chevalier sur son cheval blanc, en me disant : "Chérie, ce soir, je t'enmène à l'Opéra", imaginez donc ma réaction! Imaginez aussi la sienne, lorsqu'il s'est rendu compte qu'il en aurai pour 4h... Mais ceci est une autre histoire!

Nous sommes donc allés gaiement, moi plus que lui, voir et écouter cet opéra en trois actes. Alors?


Ce que j'ai aimé :

  • La mise en scène est tout simplement géniale (attention, spoil inside) : Les trois actes se jouent dans un espèce d'arrière boutique de musée ou d'anticaire, où tous les objets sont en constant mouvement.
  • Les décors, de même que la mise en scène, sont très bien fait
  • Le talent de l'orchestre. J'ai toujours admiré, que dis-je, adoré les musiciens dits classiques. Il m'est d'ailleurs arrivé plusieurs fois pendant la pièce de les regarder eux, plutôt que les chanteurs.
  • Le jeux des chanteurs (acteurs?)

 

Ce que je n'ai pas aimé:

  • 3h30 d'opéra (plus de 4h avec les entractes) c'est un peu long, mais ça, c'est M'sieur Hendel qui l'a voulu
  • Un peu trop de vocalises à mmon goût

 

Alors voilà les amis, si vous aimez l'opéra, que vous n'avez pas peur d'être assis pendant plus de 3h et d'entendre un peu trop de vocalises, alors foncez voir ce petit bijou du 18e siècle, qui est magnifiquement interprété!

JulesCesar04.jpg

Publicité
Publicité
15 mai 2013

La nuit aux Invalides

Il y a quelques semaines déjà, j'ai eu la chance de pouvoir assister à l'innauguration de "La nuit aux Invalides" qui se tenait aux Invalides (logique imparable) du 18 aril au 7mai dernier.
J'avoue qu'il est un peu tard pour vous en parler et que j'aurai du faire ce billet bien plus tôt pour vous donner mon avis et vous donner envie - ou pas - d'y aller, mais avec les examens qui approchent à grands pas, je n'ai pas eu trop de temps à consacrer au blog, et je m'en excuse.

Revenons à nos moutons, ou plutôt, à notre Napoléon.

C'est quoi?

La nuit aux Invalides est un spectacle son et lumière qui se déroule sur les murs de la cour d'honneur, et qui raconte une partie de l'histoire de France à travers trois figures emblématiques, à savoir, Louis XIV, Napoléon et Charles de Gaules.

Et c'est comment?

Magique.
Je ne trouve pas d'autres mots !
Les images sont sublimes, extrêmement bien enchaînées, la musique est sublime et les voix choisies pour narrer les histoires sont envoûtantes. En bref, j'ai été conquise par ce spectacle qui nous enseigne pas mal de choses (j'ai jamais beaucoup écouté mes cours d'histoire de France) et qui nous fait comprendre que la France a aussi eu des héros (je pèse ici mes mots, je ne veux froisser personne, je reconnais qu'ils n'ont pas que des gloires à leur actifs, mais soit).
Bien sûr, ce discours est très patriotique, mais si on le met de côté et si l'on regarde ce spectacle avec des yeux d'enfants, croyez moi : c'est génialissime.

 

15 mai 2013

Paris est magique

Les récents événements qui ont eu lieu à Paris suite à la victoire du PSG ne m'ont pas laissé indifférente, bien au contraire.

Assez habituée du milieu sportif, et notamment de celui du foot - merci la famille -, j'ai régulièrement eu l'occasion de voir des idiots se battre ou tout casser pour "supporter" leurs équipes, mais je crois que là, on a atteint les sommets de l'idiotie.

Je pense qu'aucun(e) d'entre vous n'a manqué ces images aux journaux télévisés, et je pense aussi que nous pensons à peu près tous la même chose à ce sujet.
Mais, la question qui nous brûle à tous les lèvres, c'est : qui est responsable?

On connaît tous l'histoire du PSG, de ses hooligans, de ses morts suite à des bagarres, on sait tous aussi, que depuis quelques temps, chaque rassemblement donne l'occasion aux casseurs de casser (chippeur, arrête de chipper!) et de semer la pagaille dans les rues de France (rappelez vous des manifestations sur le mariage gay il n'y a pas si longtemps que ça...).
Si le Trocadéro n'était peut être pas l'endroit idéal pour encadrer cette manifestation de joie et de bonheur (ironie quand tu nous tiens), il est clair qu'il manquait clairement une présence policière. Monsieur le préfet croyait-il vraiment que tous ces "supporters" allaient chanter main dans la main "On est les champions"?

Je ne souhaite accuser personne, ni le club, ni la mairie de Paris, ni la préfecture de police, mais je ne comprends pas qu'en 2013 on laisse une petite bande de troubles fêtes détruire délibérément les biens d'autruit (voitures, vitres de restaurants/magasins), en faisant comme si on ne se doutait pas que tout cela allait arriver.

 

Caricature

11 avril 2013

Exposition "Chagall, entre Guerre et Paix"

220px-Chagall_France_1921

Je suis depuis quelques années maintenant (depuis que j'ai découvert que j'aimais l'art, en fait) une grande admiratrice de Marc Chagall et de son travail.

Artiste décédé à presque 100ans, à la fois peintre, sculpteur, dessinateur ou encore créateur de vitraux, il a traversé les époques et les courant picturaux avec un génie assez incroyable.
Si je l'aime d'amour, c'est sans doute pour cela.
Sa peinture mélange tous les styles en ayant à chaque fois un message bien particulier, ou en racontant un petit morceau de sa vie. Ainsi, on peut passer du cubisme au surréalisme, dans un tableau mêlant mystique et bestiaire, et le tout, pour parler de la guerre.

Quand j'ai appris qu'une exposition en son honneur se tiendrai à Paris entre  février et juillet, j'étais toute excitée! Enfin j'allais approcher un peu déçue grand homme que j'admire tant! Je m'imaginais déjà à la sortie de l'exposition, pleurer d'admiration et de joie et aller me faire tatouer "Chagall 4 ever" sur la fesse.

 

J'ai pleuré, oui.
Mais pas pour ça.



J'ai réussi a embarquer Monsieur au musée du Luxembourg où se tient l'exposition, tant bien que mal, lui disant, "Tu verra Chagall c'est trop de la bombe, en plus, l'expo elle a l'air trop cool".
Ah, ah, ah.

Déjà, si on a pas le petit sésame magique (j'entends par là, carte Icom ou billet déjà acheté), il faut s'armer de patiente, car il y a une loooooongue file d'attente.
En suite, une fois la foule passée, et bien.... On retombe dans la foule.
Les gens se mettent en pack compact devant un tableau, avec leurs petits audioguides, et ne bougent pas. Il est donc très difficile de se frayer un chemin vers les oeuvres, et de pouvoir les mirer correctement.

En suite, on nous annonce un découpage en 4 axes de l'exposition, basé sur quatre grands moments de la vie de l'artiste, à savoir : Les années parisiennes / Le retour en Russie / Une peinture sur les routes du monde / Le retour à la sérénité.
Eh bien, moi, je les ai pas vu ces quatre axes! On se ballade dans une espèce spirale, avec des indications bibliographiques très mal mises en valeurs (entendez par là: écrites en blanc sur fond gris clair) et quasiment aucune indication artistique sur les oeuvres. Pour un néophyte de Chagall comme l'était mon Monsieur, il n'y a donc aucun moyen de mieux comprendre le travail et le sens de ces tableaux (mis à part si on loue l'audioguide à 15€, mais bon, avec une entrée qui est déjà à plus de 10€, faut pas pousser mémé dans les orties, non?).

Donc en résumé : beaucoup de monde, mauvais éclairage, pas d'indications.

Poursuivons (car non, ce n'est pas tout). Les oeuvres sont les unes sur les autres, ce qui ne permet pas la concentration de l'oeil sur un seul tableau ou un seul dessin (car c'est encore pire pour les dessins!), et de même que les indications biographiques, sont très mal éclairées. Heureusement que notre Chagall adoré aimait la couleur!

Enfin bref, vous l'aurez compris, me retrouver face à des tableaux aussi populaires que "Le Champ de Mars" n'aura pas suffit à me faire changer d'avis. L'exposition pour laquelle je me réjouissait tant m'a extrêmement déçue.
Après en avoir parlé a des amateurs qui avait eu la même réaction que moi, nous nous sommes demandés si la vraie raison à cette déception n'était pas le fait qu'il y ait beaucoup trop de monde dans un espace aussi petit.... Va savoir!
Mais bon, si vous êtes des amateurs de l'artiste (et que vous pouvez avoir des places gratos), allez y tout de même! Essayer juste de trouver le bon créneaux horaire!

 

PS : La boutique est trop cool, on peut y acheter un foulard à 270€. Si si.

5 avril 2013

Où sortir à Paris (1)

Si mon emménagement à Paris est surtout placé sous le signe des études et du sérieux (...), il faut quand même penser à se détendre un peu!
Après avoir quitté notre cher bar/QG chéri de Strasbourg, il nous a fallut, à Monsieur et à moi, trouver un nouvel endroit où passer nos samedis soirs.

 

Etant un peu (beaucoup) geek dans l'âme, il nous est apparu tout à fait normal de tester ce nouveau concept créé depuis quelques temps sur Paris, le barcraft.
Je m'explique.
Dédiés aux jeux-vidéos, ces bars sont des points de rendez-vous geek où vous pouvez jouer à tout et n'importe quoi, et boire un coup dans une ambiance sympathique.

A Paris, ce bar s'appelle le Meltdown, et pour nous, ça a été une véritable découverte et un gros gros coup de coeur!

barcraft 1

32, rue Albert Thomas
75010 PARIS

M - République

Bien que le bar soit tout petit, il n'en est pas moins très chaleureux. Bien sûr, si vous venez un samedi soir, ne vous attendez pas à entrer dans un bar tranquille au bonnes odeurs de bougie Ikea. Qu'on se le dise : il y fait chaud, ça sent un peu l'homme, ça rigole fort et on est tout serrés. Mais qu'est ce qu'on y est bien!


En tant que fille, il est rare de se retrouver dans un bar sans avoir l'impression d'être un morceau de jambon entré dans une caverne de cannibales au régime sec depuis 3 semaines, et pourtant, quand on entre au Meltdown, on est pas une fille, un mec, un dieu, un blaireau, on est simplement une personne qui aime le monde du jeux-vidéo et qui veut passer un bon moment, et CA, ça fait du bien.

Les autres +:

  • Les consoles qui sont installées toute la semaine et les soirées à thème type "Battle Just Dance" ou "Battle Mario Kart
  • La liste des cocktaïls, qui est très originale, inspirée des personnages de Starcraft, ainsi que le prix raisonnable de ces derniers (aux environs de 7€). De plus, en soirée, vous pourrez profiter des "5 minutes promo" où tout est 1€ moins cher!

 

cocktails2

Photo venant du blog des MadmoiZerg

 

Et aussi, et SURTOUT, le gros + de ce bar c'est sans doute la génialosité (je vais soumettre ce mot à l'Académie pour le prochain dictionnaire) de toute l'équipe de serveurs! A n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, ils restent agréables, souriants, et surtout, nous montrent qu'ils aiment vraiment l'endroit où ils travaillent et le partagent!

Vous l'aurez donc compris, pour moi ce bar est LA découverte. Je veux bien croire que ce genre d'ambiance ne plaise pas à tous, mais allez y faire un petit tour tout de même!

 

 

Publicité
Publicité
5 avril 2013

J'ai testé pour vous...

... le gel anti-cellulite Garnier BodyTonic

 

Garnier-gel-freezer-bodytonic-174407_L

Qu'est ce que c'est?

Un gel qui promet, comme tous ces collègues, un effet amincissant et un aspect cellulite réduit de 26% en 28 jours.

 

Comment on l'utilise?

Une fois par jour, en appliquant sur les zones souhaitées, par des mouvements circulaires ou de bas en haut ( de bas en haut étant la meilleure méthodes à mon humble avis).
Vous pouvez associer cette crème à un petit shorty qui vise au même effet : on met toutes les chances de son côté!

 

Est-ce que ça marche?

OUI !

Cela fait moins d'une semaine que je l'utilise, et je peux déjà voir un résultat. L'aspect cellulite n'a pas (encore) totalement disparu, mais il s'est nettement estompé.
Si ce gel n'est pas fait pour supprimer la cellulite, il a au moins le mérite d'en réduire considérablement l'aspect! Et c'est d'ailleurs tout ce qu'on lui demande!

Au revoir les positions assises gênantes où nos vilaines cuisses ne sont pas belles, bonjour jupes courtes et maillots de bain (vous noterez ici mon rêve de vacances au soleil, qui malheureusement ne se réalisera pas avant ... longtemps ?).
Si comme moi vous complexez du cuissot, n'hésitez pas! Vous trouverez ce gel en grandes surfaces à la modique somme de 10€

 

28 mars 2013

Message in a bottle

Voilà bien longtemps que rien n'a été écrit ici, et je m'en excuse.
Le temps passe toujours trop vite, et tellement de choses se passent ce moment, que je n'ai même plus le temps de dormir.

Entre la préparation des expositions suite au voyage en Roumanie, les 5 jours où j'étais présente au salon du livre, et le minimum de vie sociale, je n'ai plus le temps de poser mes mots et maux.

Je pourrai vous parler du printemps qui se joue de nous et des 43% de lumière dont nous sommes en déficit, des problèmes que rencontrent Chypre et des manifestations contre le mariage gay qui deviennent de plus en plus violente et sans queue ni tête. Mais non, je préfère vous parler de rien, vous dire que je suis toujours là et que je note dans un petit coin de ma tête tout ce que je pourrai vous poster.


Bientôt j'aurai plus de temps. Bientôt.

1 mars 2013

Extraits du Journal de Bord - Cinquième jour

Nous nous dirigeons vers le monastère de Camerzan, qui est pour nous inconnu, car il ne fait pas partie du circuit touristique.
Il nous faut presque 3h pour y arriver, et plus nous nous rapprochons, plus il y a de neige.

Une fois arrivés, nous sommes tous glacés par ce vent si froid qui souffle et qui vient se heurter à la forteresse du monastère. Une moniale nous ouvre et nous propose de nous faire la visite guidée des lieux.
Bien que transits par le froid, nous sommes tous les 5 éblouis par ce lieu. Un silence et une paix incroyable règnent sur ce lieu. Il est impossible de décrire avec des mots ce que l’on peut ressentir à ce moment-là. Ce n’est pas une question de croyance en Dieu, c’est encore plus que cela. Un instant coupé du monde où l’on se retrouve seul avec soi-même, un moment de paix intérieure ou plus rien ne vient vous déstabiliser. J’en viendrai presque à comprendre et envier les moniales qui viennent vivre ici.
Une fois la visite terminée, les moniales nous offrent un repas chaud et copieux pour tenir le reste de la journée. Il est 10h30, et c’est notre premier repas…. Et pas le dernier !

 Nous faisons la rencontre de sœur Déliah, qui était professeur de français avant, « dans le monde ». Elle nous explique pourquoi elle s’est tournée vers la religion alors qu’elle était à deux doigts de se marier et que sa carrière professionnelle était plus que correcte, et nous sommes alors tous marqué par sa douceur et la sérénité qui émane de son discours.

 

 

1 mars 2013

Extraits du Journal de Bord - Premier jour

Jour 1 – Le départ de Paris et l'arrivée à Bucarest

 

Bien que le réveil soit un peu difficile à 5h du matin, l'excitation est à son comble.
Depuis des mois nous nous battons pour réaliser ce voyage, et aujourd'hui, c'est le jour du départ. Un peu dur d'y croire.
Nous nous retrouvons tous à l'aéroport, et les ennuis commencent déjà. Une d'entre nous ne peut pas partir car ses papiers ne sont plus valables.
Le choc est dur à encaisser pour elle comme pour nous, mais il faut bien se rendre à l'évidence et partir tout de même.

Décollage, atterrissage, escale, re-décollage et re-atterrissage, nous voilà enfin arrivés à Bucarest.
Comme un malheur n'arrive jamais seul, une des valises du groupe n'a pas quitté Paris. On la retrouvera donc quelques jours plus tard.

Nous prenons le bus 783 pour rejoindre notre auberge de jeunesse, et traversons alors toute la ville. Entre misère et gloire, certains quartiers de cette ville semblent s'être arrêtés dans le temps. Des maisons en ruines suivies de villas, des bâtiments à l'architecture magnifique et devant eux, des femmes âgées qui vendent des fleurs, c'est un peu ce qui caractérise Bucarest.

Le chemin jusqu'à l'auberge nous conduit dans des rues où plus aucune maison ne tient debout, et nous nous demandons tous dans quel endroit nous allons passer la nuit, C'est une grande surprise quand nous arrivons au Doors Hostel (http://doorshostel.com/sneakin.php). Derrière un grand portail se cache une petite maison, et nous sommes reçus avec un accueil des plus chaleureux.

 

 

Une douche pour certains, une sieste pour d'autres histoire de récupérer du voyage, et après une bonne bière pour fêter notre arrivée, nous voilà repartis pour aller manger un repas traditionnel.

Bucarest by Night est assez impressionnant, et surtout, inattendu. Les bars sont les uns sur les autres, on entend de la musique partout, le gens rient et, au contraire de la nuit parisienne, il n’y a aucun sentiment d’insécurité.
Nous décidons d’aller manger au « Cara Cu Bere » (http://www.carucubere.ro/), restaurant très touristique, mais qui propose de bons plats traditionnels à des prix corrects. Il faut savoir qu’en tant que français, on prend une sacré claque quand on voit les prix. On peut manger correctement pour 15 lei (ou 15 RON), ce qui revient à peu près à 4€.
Quel fût notre surprise en rentrant dans ce restaurant ! C’est un lieu immense où la décoration, bien que kitsch et très chargée est magnifique. A l’étage, il y a des danseurs, au sous-sol, un groupe qui vous joue du Dalida à la flûte de pan !

 

La fatigue aidant, nous nous laissons aller à quelques fous rires qui n’en finissent plus. Encore un dernier verre pour la route dans un bar branché de Bucarest et nous rentrons à l’auberge.
Bilan financier de la soirée : Repas + 2 bières + 1 digestif + 2 cocktails = 30€. Qui dit mieux ?


Fatigue + mauvais sens de l’orientation  = perte totale de repères et donc, perte du chemin à suivre pour rentrer.
Nous rencontrons à ce moment-là deux chiens errants qui nous escorteront jusqu’à l’auberge et nous protégeront des autres chiens.
Enfin arrivés, il est temps de dormir.

17 février 2013

Nouvel an chinois 2013

DSCF0442

DSCF0449

DSCF0456

DSCF0471

DSCF0480

 

Nous avons eu droit à un très beau spectacle cette après midi, sous le soleil, pour fêter le nouvel an chinois! Petit extrait de ce que j'ai pu voir !

Publicité
Publicité
1 2 3 4 > >>
Oriannka
Publicité
Archives
Publicité